Hall B1 - n°69
CHATEAU DE GAUDOU

CHATEAU DE GAUDOU

FranceSud-OuestCahors AOPCôtes du Lot IGP

Informations

Description
Philosophie de Gaudou
Dans un souci de respect de la nature (bio, agriculture durable…), je m’emploie à connecter mes vins à l’identité ancestrale et contemporaine des vins de Cahors (lieux-dits, veilles vignes…). J’ai à cœur de partager le fruit de mon travail et de ma passion pour ce métier de vigneron artisan…

Le vignoble …
Il est constitué du cépage Malbec qui a été sélectionné dans les plus vieilles vignes de l’AOC Cahors qui survécurent au Phylloxera.

Notre travail :
- Valorisation de nos lieux-dits via nos vins
- Sauvegarde de nos vieilles vignes hautes
- Taille en cordon de Royat
- Pigeage
- Utilisation de levures indigènes
- Elevage en barrique, foudre et en céramique
Représente des atouts majeurs face au changement climatique et à l’encrage identitaire de nos vins dans la longue histoire du vignoble de Cahors.

Respect de la nature…
J’ai également souhaité placer au centre de Gaudou la question environnementale. Cette sensibilité à l’environnement a été nourrie par plusieurs moments de ma vie. De la naissance de ma fille, à un voyage en Thaïlande/Cambodge ainsi qu’au diagnostic d’une maladie professionnelle. Quels actes pouvons-nous mener, à notre échelle, pour essayer de préserver les générations futures ?

Cette succession de réflexions ont abouti à ce virage vers une culture plus respectueuse de l’environnement et de l’homme en commençant par la lutte raisonnée début 2000, le HVE puis le Bio.

Pourquoi pas un jour la biodynamie. On y réfléchit…










Plus en détail, le chemin parcouru…

La reprise …
J’ai repris le vignoble de mes ancêtres début des années 2000, après avoir travaillé quelque temps en Australie, à St Emilion et dans un centre expérimental du vin.

La valorisation de nos lieux-dits…
Dès mes débuts, j’ai choisi de poursuivre le travail de sélection parcellaire que mon père et mon grand-père ont initié en 1988, en valorisant nos lieux-dits viticoles ancestraux. Certains de ces lieux-dits sont reconnus depuis le moyen-âge et ils nous permettent de nous inscrire dans la continuité des générations de vignerons de Cahors qui ont travaillé ces vignes.

Nos vieilles vignes …
Les premières années, j’ai dû militer pour conserver au sein de l’appellation nos vieilles vignes hautes plantées par mes aïeux et qui ne correspondaient plus au standard de l’AOC contemporaine.
Notre taille en cordon de Royat…
Mon grand-père m’avait appris à tailler en cordon de Royat sur nos vieilles vignes qu’avait planté son père. J’ai fait remarquer que ce mode de taille n’avait pas été recensé à la création de l’appellation. Alors qu’elle était usuellement pratiquée dans le vignoble depuis plusieurs générations.
Le pigeage…
Le pigeage étant le mode d’extraction de mes ancêtres et à la fois une méthode douce pour extraire la texture de notre Malbec. J’ai bâti deux chais en 2013 et en 2019 afin de permettre d’utiliser cette technique traditionnelle sur l’ensemble de nos vins.
Utilisation de levures indigènes…
Particulièrement, pour nos vins rouges, cela fait très longtemps que nous n’utilisons plus de levures sélectionnées. Il peut, cependant, nous arriver d’en utiliser lorsqu’une cuve s’arrête de fermenter. Cela reste quelque chose de très rare, depuis que nous utilisons de levures naturelles.
Elevages…
L’élevage à Gaudou a su évoluer afin de s’inscrire dans son temps. Anciennement, les barriques avaient le double emploi. Elles étaient utilisées pour l’élevage et la commercialisation, dans les années 1990 et début 2000 l’élevage en barrique neuve et deux et trois vins.
En-dehors de ces modes d’élevage en barrique, le foudre a toujours été le socle de l’élevage à travers les âges des vins de Gaudou. Dans le plan historique du chai de 1733, on retrouvait déjà son usage.
Chaque génération a investi dans de nouveaux foudres ce qui me permet d’élever l’ensemble de nos vins boisés dans ce contenant.

Lors de mon expérience en Australie, j’ai appris à utiliser des contenants d’élevage de nouvelle génération. Dès mon retour, j’ai commencé à expérimenter des contenants de petit volume microporeux autre que la barrique.

En 2012, la cuvée « Le sang de la Vigne » (aujourd’hui cuvée « Le sang de ma terre ») fut le premier vin élevé dans des cuves ovoïdes microporeuses non boisées.
A partir de 2018, nous avons poursuivi avec l’élevage de nos lieux-dits dans des cuves de 400 litres en céramique.
Ce qui nous a permis d’obtenir une expression plus identitaire du lieu-dit avec un seul cépage, le Malbec.

Philosophie environnementale…
L’ensemble des réflexions sur l’environnement ont été nourries par plusieurs moments de ma vie.
- La naissance de ma fille en 2014 m’a permis de soulever des questions sur le vignoble, les vins et sur ce que j’allais lui transmettre.
- Mon voyage de noces en Thaïlande/Cambodge où j’ai vu des rivières et des plages, parmi les plus belles du monde, peuplées de plastique.
- Le diagnostic d’une maladie professionnelle issue de mon exposition aux produits phytosanitaires depuis mon enfance.
Est-ce que les firmes de produits phytosanitaires nous disent tout ?
N’étant pas certains de la réponse et constatant que, régulièrement, des produits étaient retirés du marché du fait de leur dangerosité. J’ai voulu mener ma propre enquête… J’ai découvert sur le site « www.sagepesticides.qc.ca » les conséquences de ces molécules sur les êtres vivants. J’ai décidé d’éliminer toutes les molécules qui pouvaient avoir, potentiellement, un impact nocif. Je me suis alors, petit à petit, employé à utiliser exclusivement des produits de contacts homologués bio à partir de 2017.

Cette succession d’éléments a abouti à ce virage vers une culture plus respectueuse de l’environnement et de l’homme en commençant par la lutte raisonnée début 2000, le HVE puis le Bio. Pourquoi pas un jour la biodynamie. On y réfléchit…

L’année 1992 connut un orage très violent, ce qui a créé de grands sillons dans les vignes. Mon père pris la décision d’enherber nos rangs sur une grande partie du vignoble.
Ce changement révéla le potentiel qualitatif d’un lieu-dit (Chemin d’Orgueil). Ainsi, dès 1993, il créa la cuvée Renaissance. Ce vin lui rappelait les Cahors concentrés de son enfance. Celui que ces aïeux vendaient et qui faisait la renommée du vignoble cadurcien.
Dans mon cursus scolaire, j’ai eu la chance de faire un BEP Agricole qui m’a permis d’acquérir des connaissances sur les différentes techniques du travail du sol et l’entretien des prairies, etc. Des connaissances qui ne sont pas valorisées dans la filière viticole que j’ai suivie par la suite.
Un des premiers points, des pratiques de mon père, qui me posait philosophiquement un problème était le désherbage.
Dès mon retour à la propriété, j’ai voulu ré apprendre les pratiques de travail du sol utilisées par ma famille avant les désherbants. (Buttage, décavaillonnage, sarcleuse…).
Très vite, je compris que si je voulais généraliser ce travail sur l’ensemble de la propriété cela allait représenter un coût important en temps, en usure du matériel et surtout en la perte importante de pieds.
Par la suite, j’ai cherché des techniques et des outils plus contemporains. Afin de permettre de travailler plus rapidement et d’agrandir la surface de vignes travaillées sous le rang. (Roues Kress, lames hydrauliques.)
D’autres difficultés apparurent ; le terroir composé de galets roulés, majoritaire, de notre vignoble et très difficile à travailler. Ces derniers créent une usure importante du matériel et un inconfort, pour le tractoriste, provoqué par les rebonds qu’engendrent les galets.
N’ayant pas de solution, j’ai pris la décision de laisser les vignes s’enherber naturellement et en totalité. J’ai décidé de suivre leur comportement, car cette méthode favorise la descendante des racines dans le sol.
Pendant cinq ans, les vignes ont subi le changement climatique avec des excès d’eau et de chaleur. A ma grande surprise, j’ai découvert que mes vignes ne subissaient pas le stress hydrique alors qu’elles avaient les pieds couverts d’herbe et que les récoltes étaient plutôt conformes aux attentes du millésime.
Le seul inconvénient de cette technique est, comme le travail du sol, une accélération de la mortalité des pieds les plus faibles.

Aujourd’hui, j’ai trouvé un appareil qui me permet de désherber sous le rang les vignes avec de l’eau à 1000 bar de pression et des buses céramiques rotatives.
Cela réalise un désherbage naturel sans retourner le sol en utilisant peu d’eau.
Nous sommes encore au stade d’essai, mais il semble prometteur.

Blanc Malbec…

Après avoir dégusté un Merlot vinifié en blanc du Nord de l’Italie, je me suis dit, et pourquoi pas un blanc de Malbec !
Dans l’attente des vendanges qui m’ont semblé interminables en 2010, j’ai récolté quelques raisins et les ai pressés. Ma surprise fut à la hauteur… Du jus blanc qui s’est écoulé du petit pressoir ! Le défi était lancé !
Tous les ans, nous avons travaillé pour élaborer un savoir-faire afin d’atteindre un objectif qualitatif de l’AOC.
Aujourd’hui nous produisons plus de 100 hl de Malbec Blanc en sec et en mousseux.
L’aventure continue, pourquoi pas un Cahors blanc !

Conditionnement….

Pour rester dans la même philosophie, nous utilisons depuis plusieurs décennies :
- Du carton marron pour partie issu du recyclage sans feuille blanchie chimiquement
- Pour nos cuvées IGP et cœur de gamme en AOC, les bouteilles les plus légères possibles dont le verre est issu au minimum à 70% du recyclage.
- Nous travaillons avec des imprimeurs locaux.
- Nous louons des palettes pour éviter une production nouvelle.
- Nous nous soucions de recycler le plus possible ou de bien trier nos déchets. Nous essayons ainsi de nous passer le plus possible de produits issus du pétrole.
- Nous utilisons des bouchons naturels du Portugal provenant de chênes liège naturel exploités avec des gestes ancestraux associés à une technologie de pointe pour éviter la fuite ou du gout de bouchon.

Et pourquoi pas la Biodynamie ?

Nous y réfléchissons tout en prenant le chemin…
Sur nos élevages longs, nous avons diminué drastiquement l’utilisation du SO2, nous en utilisons très peu dans les vins jeunes.
Nous nous aidons d’huile essentielle pour utiliser moins de cuivre.
Nous nous inspirons du calendrier lunaire pour prendre certaines décisions tout au long de l’année. Pratique qui a toujours été utilisé dans ma famille, le bon sens paysan !
La protection de la biodiversité de nos terroirs, l’économie du travail au sol, la préservation du biotope vivant autour des parcelles composées souvent de taillis et de bois.

Mais il nous reste encore un long chemin…
Famille Durou

Une sacrée lignée de vignerons par la famille Durou

L’histoire commence par passion, en 1733, où les ancêtres de Fabrice Durou se sont implantés. On ne compte pas moins de 7 générations de vignerons. Tous ont apporté leur lot d’innovation et de modernisation, mais c’est en 1966 que l’histoire de Gaudou est chamboulée. En effet, le Château de Gaudou créé sa toute première étiquette. Cette création signe le commencement de la vente de vin en bouteille, qui s’effectuait jusque-là en barrique !

Le Château de Gaudou est, depuis plus de sept générations, associé à une tradition vigneronne qui ne s’est jamais démentie. C’est au XVIIIe siècle que Louis Durou s’installe au lieu-dit Gaudou par alliance avec Marie-Louisa Buge, famille terrienne, propriétaire des lieux.

Il est toutefois difficile de savoir à quelle époque remonte cette longue lignée de Durou. En effet, dès l’an 1500, les registres paroissiaux mentionnent une Marguerite Durou. L’histoire nous apprend qu’ils vécurent dans cette vallée du Lot, cultivant cette terre depuis des temps ancestraux. Très tôt, le négoce du vin s’inscrit au sein de la famille Durou à Gaudou. Les livres de compte d’alors, font état de commerce aux quatre coins de la France tout en privilégiant Paris. Grand voyageur, Jean-Charles-Edouard Durou noue des relations commerciales qui serviront la cause de notre vin. Julia Garrigou, son épouse, pourvue d’un sens relationnel très aigu, apporte une contribution non-négligeable à la renommée du domaine.

Son fils unique, Louis-Jean Durou, doit écourter ses brillantes études, pour prendre la place de son père décédé prématurément. Très vite, il maîtrise les éléments alchimiques du vin pour enrichir les pratiques quotidiennes de la viticulture locale. Son savoir-faire, reconnu de tous, sera déterminant dans le développement de la mécanisation agricole de Gaudou. Les deux guerres qui entaillent la première partie du XXe siècle rendent la vie difficile au domaine. Mais les épreuves de l’histoire ne le découragent pas. Il prend la décision d’utiliser nos précieuses barriques, jusqu’alors utilisées essentiellement pour le commerce du vin, pour l’élevage de nos Cahors. 1966 marque la consécration du Château de Gaudou : notre Cahors est désormais en bouteille !

René-Jean-Jacques Durou bâtit, modernise et affirme la typicité d’un grand vin.
Aujourd’hui, c’est le seigneur de son domaine. Son combat de tous les jours voit une juste récompense dans la pratique de méthodes visant à soigner toujours mieux ses vignes (enherbement, effeuillage, vendanges vertes, table de tri…). Brigitte, son épouse, n’a de cesse, quant à elle, de développer le domaine sur le terrain commercial.

Le début des années 2000 est marqué par le dernier descendant des Durou : Fabrice. Digne héritier de cette lignée de vignerons, il incarne le renouveau de l’appellation. En restant fidèle au savoir-faire de ses aïeux, il est aujourd’hui le garant d’une tradition mâtinée de modernisme. Son obsession réside dans l’excellence des vins qu’il élève avec passion et amour. Une quête qualitative couronnée par une série de médailles dans les plus prestigieux concours internationaux, atteste, que le Château de Gaudou compte parmi les plus grands Cahors de l’appellation.



Le domaine en bref

Démarche biologique :
2010 certification lutte raisonnée
2019 haut de gamme certifié Bio
2023 ensemble du vignoble certifié Bio

Générations de vignerons : 7
Âge du premier chai : 1733
Âge des vignes : moyenne 50 ans (de 10 à 120 ans !)

Exposition : sud/sud-ouest
Terroir : majoritairement 3e terrasse de la vallée du Lot
Type de sol : grave, calcaire (Kimméridgien), argile
Encépagement : 80 % Malbec, 15 % Merlot, 5 % Tannat
Densité de plantation : 4 200 à 5 500 pieds/ha

Une viticulture raisonnée :
 Taille en Cordon de Royat
 95 % des parcelles sont enherbées
 Nous prenons soin de nos vieilles vignes qui composent une grande majorité de notre vignoble.

Vinification traditionnelle, adaptée aux millésimes :
 Macération de 1 à 6 semaines
 Macération à chaud
 2013 construction d’un chai en béton avec trappes de pigeage
 2019 construction d’un chai de pigeage à cuve horizontale en inox

Conditionnement :
 Utilisation de bouteilles moins lourdes et de cartons bruts, mais de qualité pour limiter le poids du transport.
 Recyclage des matières sèches et de certains liquides.

Une reconnaissance historique :
Exposition Agricole de Limoges, 1921 : Médaille d’Argent
C.G.A. Paris 1914 : Médaille d’Or, récolte 1913
 C.G.A. Paris 1909 : Médaille d’Or, récolte 1909
Livre d’Or Concours et Exposition Diplôme commémoratif 1er Prix
Bonne tenue de la ferme : Prime d’Honneur





Cahors
Un vin doublement millénaire

Considéré comme l’un des vins les plus anciens d’Europe, l’histoire du vin de Cahors se confond avec l’époque gallo-romaine quand les légions de Jules César plantèrent les causses du Quercy en vigne. Une renommée qui ne cessa de croître au moyen-âge, de la cour d’Angleterre jusqu’aux tsars de Russie. François 1er fut l’un des ardents défenseurs du Cahors, s’inscrivant dans la lignée du pape Jean XXII qui, en Avignon, fit de ce breuvage le plus noble des vins de messe. Au XXe siècle, le président de la République, Georges Pompidou, contribua au classement A.O.C de cette appellation en quête de nouvelles lettres de noblesse. Rappelons qu’au XIXe siècle, avant l’invasion du Phylloxéra. Le vignoble cadurcien s’étendait sur 40 000 hectares de vigne, répartis sur un terroir d’excellence composé de grave et de calcaire.

Ici, l’Auxerrois est roi depuis 2000 ans, car il a trouvé des conditions géologiques, mais aussi climatiques, qui lui permettent d’exprimer ses qualités optimales. Si son nom scientifique est le Cot (encore nommé Malbec), l’Auxerrois n’en est pas moins un cépage d’exception qui compte également dans sa famille le Tannat.

Après fermentation, il donne un jus très foncé, aux tanins abondants et aux arômes soutenus. La mûre, la réglisse et le cassis participent à cette symphonie des saveurs déclinées à l’envie au gré des millésimes.

Le terroir, le climat et le cépage sont des cadeaux de la nature qui, associés à l’effort du vigneron, sont les grands atouts d’un Cahors qui a su traverser les âges et les frontières, et accéder ainsi au Panthéon des meilleurs vins de France.

L’appellation Cahors en bref

Date premier vignoble : époque gallo-romaine.
Surface du vignoble avant phylloxéra : 40 000 hectares
Date du décret AOC : 15 avril 1971
Surface de L’AOC Cahors : 3 368 hectares déclarés en 2022
Rendement de base : 50 hl/ha
Nombre de vignerons : environ 450
Encépagement du vignoble : Malbec (environ 70 %), Merlot et Tannat
Situation géographique : dans les méandres de la vallée du Lot
Climat : automne ensoleillé pour des vendanges tardives
Appellation
Cahors AOP
Région viticole
Sud-Ouest
Pays
France

______

Mode de production

Année de certification
2020-01-01
Démarche qualité
Aucune
Conditionnement
Bouteille verre
Type de produit
Vin doux et liquoreux
Vin effervescent
Vin tranquille

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Réseaux distributions

Type de client(s) actuel(s)
Caviste
Exportateur
Grossiste
Pays actuels
Allemagne
Belgique
Canada
France
Ile de la Réunion
Irlande
Luxembourg
Pologne
Royaume-Uni
République Tchèque
République de Corée
Suède
Type de client(s) cible(s)
Exportateur
Grossiste
Pays cible(s)
Afrique du Sud
Albanie
Algérie
Andorre
Angola
Anguilla
Antigua-et-Barbuda
Arabie saoudite
Argentine
Arménie
Aruba
Australie
Autriche
Azerbaïdjan
Bahamas
Bahreïn
Bangladesh
Barbade
Belgique
Belize
Bermudes
Bhoutan
Bolivie
Bosnie-Herzégovine
Brunéi Darussalam
Brésil
Bulgarie
Bélarus
Cambodge
Cameroun
Cap-Vert
Chili
Chine
Chypre
Colombie
Croatie
Côte d'Ivoire
Danemark
Espagne
Estonie
Fidji
Finlande
Grèce
Guadeloupe
Guam
Guatemala
Guernesey
Guyana
Guyane française
Géorgie
Haïti
Honduras
Hong-Kong
Hongrie
Inde
Indonésie
Irlande
Islande
Italie
Japon
Jersey
Jordanie
Laos
Lettonie
Lituanie
Macao
Maldives
Malte
Maroc
Martinique
Maurice
Mayotte
Monaco
Monténégro
Norvège
Nouvelle-Zélande
Panama
Papouasie-Nouvelle-Guinée
Paraguay
Pays-Bas
Philippines
Polynésie française
Porto Rico
Portugal
Pérou
Qatar
Roumanie
Rwanda
République Dominicaine
République Tchèque
Saint-Barthélemy
Saint-Kitts-et-Nevis
Saint-Pierre-et-Miquelon
Saint-Siège (état de la cité du Vatican)
Saint-Vincent-et-les Grenadines
Sainte-Hélène Ascension et Tristan da Cunha
Sainte-Lucie
Samoa
Samoa américaines
San Marin
Sao Tomé-et-Principe
Serbie
Seychelles
Singapour
Slovaquie
Slovénie
Sri Lanka
Suisse
Suède
Swaziland
Tanzanie
Taïwan
Territoire britannique de l'Océan Indien
Thaïlande
Trinité-et-Tobago
Tunisie
Turquie
Tuvalu
Uruguay
Viet Nam
Vénézuela
Wallis et Futuna
Émirats arabes unis
Équateur
États-Unis
Îles Caïman
Îles Turks et Caïques
Îles Vierges britanniques
Îles Vierges des États-Unis

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CATHARY
Fonction
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